Ces rapports n’auraient pu être réalisés sans le précieux soutien financier du Fonds Mondial de lutte contre le Sida, la Tuberculose et le Paludisme.
Ces trois rapports débusquent les contraintes qui limitent l’accès des populations les plus à risques et vulnérables à certains droits fondamentaux, à des soins de qualité et à certains outils de prévention.
Rappelons qu’à Maurice, le nombre de nouvelles contaminations ne cessent de grimper (voir le dernier communiqué du Ministère de la Santé) et nous enregistrons chez PILS et AILES, notre partenaire associatif dans la région de Mangalkhan), une hausse inquiétante de décès chez les personnes en phase sida qui sont hospitalisées.
Ces rapports sont riches d’information sur le cadre juridique présent à Maurice et qui conditionne la réponse au VIH et aux hépatites virales. Le Stigma Index parle in extenso de facteurs qualitatifs et quantitatifs autour de la stigmatisation que vivent les personnes vivant avec le VIH. Quant à l’IBBS TG, première étude de ce type, elle tente de comprendre les vulnérabilités accrues que vit cette population spécifique, couplée avec une étude biologique de prévalence du VIH, des hépatites virales et de certaines IST. Il serait fastidieux de vous présenter aujourd’hui ces trois rapports que nous vous invitons à consulter sur le site de PILS www.pils.mu.
Cependant, compte tenu de notre inquiétude actuelle sur les nouvelles contaminations et une prise en charge qui nous semble loin d’être idéale, nous souhaitons vous présenter les recommandations de ces trois rapports qui font lien avec le renforcement nécessaire de la prévention et de la prise en charge.
Voici les principaux enseignements de ces trois études :